19 mars 2006
asÎle
Des dizaines, des centaines, des miliers...
Chacun reclus dans un petit clos,
Bordé d'une forêt de miroirs,
Le visage frappé de l'écume,
De paroles emportées par le vent,
Et d'échos.
Et quand c'est un grondement qui émane des alentours,
Alors demeure la fuite.
Que mon refuge soit celui de chacun,
Mais où me cacherai-je, moi?
Publicité
Publicité
Commentaires